«Ce qui caractérise toutes les perversions, c'est qu'elles méconnaissent le but essentiel de la sexualité, c'est-à-dire la procréation.» Sigmund Freud.
L’inconscient collectif associe généralement cet adjectif à des déviations comportementales (et plus spécifiquement sexuelles), plus ou moins volontaires.
Pour la psychologie et la sexologie contemporaines, à la suite de Sigmund Freud, chaque être humain porte en lui une disposition perverse polymorphe. Autrement dit, chaque individu possède, potentiellement, tout un champ d’éléments déviants dans sa psyché.
Il faut se pénétrer de l’idée (j’ai bien dit de l’idée) que ce sont des événements de la petite enfance qui sont à l’œuvre dans la perversion sexuelle. En fait, la perversion se pose comme une fixation particulière à une étape du développement psychologique.
Il ne nous appartient pas de jauger ici, sur quoi les individus possèdent un contrôle, ou d’évaluer les perversions en termes de moralité. Restant dans le cadre informatif et psychologique, nous ferons une simple présentation de quelques déviations particulières.
Freud a introduit (décidément) une classification rationnelle des déviations selon deux modalités :
- Les déviations quand à l’objet (zoophilie, homosexualité, pédophilie etc).
- Les déviations quand au but (sodomie, voyeurisme, sadisme, masochisme etc).
A partir de ces points, nous vous présenterons quelques perversions judicieusement sélectionnées après de rigoureux tests sur cobayes humains.
Julien Martinet.
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